Por Germano Xavier
Tradução: Luísa Fresta
Des poèmes étranges et étrangers (Partie XIII)
Une sorte de Pequod
la Mer du Nord était
toujours là dans mes pensées
depuis que j’avais quitté
Volendam.
je ressentais une sorte
d’appel, comme un cri.
mon après-midi venait de commencer
à Marken.
il faisait froid, il y avait
du vert partout dans les maisons en bois
des fenêtres ouvertes, des
gens nus là-dedans.
ils se déplaçaient à gauche
et à droite dans les pièces
insouciants, délivrés de
toute sorte de pudeur,
comme s’ils habitaient un
petit Éden.
au cœur d’un petit comté,
j’ai remarqué un Pequod ancré
sur un rivage.
et j’ai fixé le bateau
pendant un bon moment.
le froid me réchauffait le
cœur.
des souvenirs de voyages par
le biais des livres m’ont assailli.
c’était un moment simple et
beau
et j’éprouvais le besoin de
te le raconter.
(Marken, après-midi du 16 juin 2017)
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