Por Germano Xavier
Tradução: Luísa Fresta
Des poèmes étranges et étrangers
(Partie IX)
Érrances médiévales
j’ai aperçu
Rotterdam et Anvers. je les ai juste aperçues.
d’après le
planning du voyage, on devrait s’arrêter par la suite à Venise du Nord, dans
la région des Flandres.
aux alentours du centre, beaucoup de jeunes
et de vélos.
pendant que je m’apprêtais à explorer la médiévale
ville belge,
je suis entré dans un typique bar local.
un café, s’il
vous plait.
avant de
partir, j’ai essayé les curieuses toilettes de l’établissement.
il y régnait
une atmosphère littéraire assez singulière.
cependant,
après un brève moment pour remettre les idées en place,
j’ai traversé
les rues et les ruelles de Bruges.
les canaux me
suivaient comme des serpents
qui leurraient
mon regard extasié. la notion de Moyen-âge
est toujours vivante
là-bas, malgré les couches capitalistes et multinationales
qui maculent
toute aura innocemment pure des visages.
les aiguilles
de la montre me confondaient à nouveau.
il était sept
heures du soir et pourtant le soleil était toujours en début d’après-midi.
après un déjeuner
rapide en guise de repas,
je suis parti
vers le Tribunal de province,
pour assister
à un moment musical au Clocher
et monter au
Musée de la Bière.
Bruges montrait
un ciel bleu tonique même pendant la nuit.
les briques nues
de ses constructions séculaires rappelaient le fameux chocolat.
lorsque la
nuit semblait vouloir tomber tardivement, j’étais en plein milieu de la Grande-Place
en train de
contempler les longues mémoires outre Atlantiques.
je suis resté
un moment là-bas pour me concentrer sur des détails.
puis j’ai tiré
les rideaux de l’hôtel.
bonne nuit,
Belgium.
(Après-midi et soir du 14 juin 2017)
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