As árvores amorosas (parte XVIII)
Les arbres amoureux (partie XVIII)
et nous avons pris la route, sans drapeau
nous nous battions comme des gens qui flânent
sans destination
sur la Honda rouge
notre ombre, comme un miroir
collée aux murs de la maison, en contre-jour
était la seule piste pour nous retrouver
comme des cœurs jumeaux
et alors le moteur a rugit plus fort
et toi (ton corps) libérée par des yeux rêveurs
moi qui me croyait tout un matin inquiet
l’amour a disparu au clair du petit phare
qui allumait de tous cotés la nuit véloce
(qui t’allumait pour t’éteindre en moi)
dès ton premier tournant à gauche
Les arbres amoureux (partie XVIII)
Poème dédié à la femme-modèle de la Faculté
et nous avons pris la route, sans drapeau
nous nous battions comme des gens qui flânent
sans destination
sur la Honda rouge
notre ombre, comme un miroir
collée aux murs de la maison, en contre-jour
était la seule piste pour nous retrouver
comme des cœurs jumeaux
et alors le moteur a rugit plus fort
et toi (ton corps) libérée par des yeux rêveurs
moi qui me croyait tout un matin inquiet
l’amour a disparu au clair du petit phare
qui allumait de tous cotés la nuit véloce
(qui t’allumait pour t’éteindre en moi)
dès ton premier tournant à gauche
* Imagem: http://www.deviantart.com/art/Into-The-Trees-198460624
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