Terça-feira, 24 de setembro de 2013
Apoéticos
Apoétiques
je pleure la douleur
d’un poème
indemne
car les poèmes blessent
avec leurs armes invisibles
car les poèmes
quand ils ne sont ni bus
ni avalés
entièrement
ne sont que des abcès répugnants
et intraitables.
je pleure la douleur
d’un poème,
celui qui naît
et celui qui n’aboutit nulle part
à l’intérieur d’un homme
et qui ignore le chemin
de ses limites intangibles
je pleure la douleur
d’un poème,
et surtout
je pleure
la douleur d’un homme
sans poésie.
Apoéticos
Apoétiques
je pleure la douleur
d’un poème
indemne
car les poèmes blessent
avec leurs armes invisibles
car les poèmes
quand ils ne sont ni bus
ni avalés
entièrement
ne sont que des abcès répugnants
et intraitables.
je pleure la douleur
d’un poème,
celui qui naît
et celui qui n’aboutit nulle part
à l’intérieur d’un homme
et qui ignore le chemin
de ses limites intangibles
je pleure la douleur
d’un poème,
et surtout
je pleure
la douleur d’un homme
sans poésie.
* Imagem: http://www.deviantart.com/art/time-drop-57813963
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