Terça-feira, 14 de Janeiro de 2014
O Rei derrubado
Le Roi déchu
au contraire et à l’envers, au temps tordu
à l’heure morte, sur un feu triste,
dans la gloire isolée, dans le rêve noirci
habite, apeuré, l’homme vague et absorbé…
dans l’allure et son contraire, dans l’ignorance
dans la pensée – et son absence -,
habite le siècle obscur, le tonnerre pâle,
sans visage, informe
ni les foudres, ni des armées perfides,
ni les peaux citrines du coton
arrivent à cacher le mal humain
sous les lumières tamisées ou les infectes satellites
ni les foudres nous laissent en héritage
la nourriture dessalée
de l’autre coté,
complaisant, le cheval ment
on devine chez lui le mal de mer
au trot de ses pattes de devant…
O Rei derrubado
Le Roi déchu
au contraire et à l’envers, au temps tordu
à l’heure morte, sur un feu triste,
dans la gloire isolée, dans le rêve noirci
habite, apeuré, l’homme vague et absorbé…
dans l’allure et son contraire, dans l’ignorance
dans la pensée – et son absence -,
habite le siècle obscur, le tonnerre pâle,
sans visage, informe
ni les foudres, ni des armées perfides,
ni les peaux citrines du coton
arrivent à cacher le mal humain
sous les lumières tamisées ou les infectes satellites
ni les foudres nous laissent en héritage
la nourriture dessalée
de l’autre coté,
complaisant, le cheval ment
on devine chez lui le mal de mer
au trot de ses pattes de devant…
* Imagem: http://www.deviantart.com/art/Um-vento-que-me-segue-37196588
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